dans la conférence du père pierre marie il dit que c’est quelquefois difficile de tenir le calme dans une salle de catéchisme et l’« animateur » peut se demander qu’est qu’il fait là
> se poser la question c’est y répondre
> comme je commence à être âgé je me remémore quelque fois tout ce que des gens pour qui je n’étais rien ont fait pour moi, sans aucun intérêt pour eux, et à prime abord sans qu’ils ne sachent si j’en serai même reconnaissant
> et quand j’y pense (faites pareil) c’est une foule innombrable : des frères des écoles chrétiennes, des chefs scouts, des prêtres, votre communauté, des gens qui se sont montrés attentifs à moi, alors que je ne pense pas que ma conversation soit passionnante
> je pense souvent à une fermière qui nous avait accueilli pour manger notre pique nique dans sa cuisine lors d’une exploration quand j’avais 8 ans et que j’étais louveteau. a part qu’on était mignon (ce dont je ne me doutais pas) on était fort intimidé et on a rien dit. elle avait donc fait ca sans aucun intérêt pour elle. sauf que sans doute des dizaines d’années après sa mort sans doute qui pense à elle encore ?
> c’est la raison pour la quelle j’ai préparé des jeunes à leur confirmation à st Vincent sans aucun talent pour, uniquement pour que dans 50 ans et qu’il y aura longtemps que je serai mort ils se disent en se remémorant : « et celui là pourquoi s’est il occupé de moi ? »
> louis
dans la conférence du père pierre marie il dit que c’est quelquefois difficile de tenir le calme dans une salle de catéchisme et l’« animateur » peut se demander qu’est qu’il fait là > se poser la question c’est y répondre > comme je commence à être âgé je me remémore quelque fois tout ce que des gens pour qui je n’étais rien ont fait pour moi, sans aucun intérêt pour eux, et à prime abord sans qu’ils ne sachent si j’en serai même reconnaissant > et quand j’y pense (faites pareil) c’est une foule innombrable : des frères des écoles chrétiennes, des chefs scouts, des prêtres, votre communauté, des gens qui se sont montrés attentifs à moi, alors que je ne pense pas que ma conversation soit passionnante > je pense souvent à une fermière qui nous avait accueilli pour manger notre pique nique dans sa cuisine lors d’une exploration quand j’avais 8 ans et que j’étais louveteau. a part qu’on était mignon (ce dont je ne me doutais pas) on était fort intimidé et on a rien dit. elle avait donc fait ca sans aucun intérêt pour elle. sauf que sans doute des dizaines d’années après sa mort sans doute qui pense à elle encore ? > c’est la raison pour la quelle j’ai préparé des jeunes à leur confirmation à st Vincent sans aucun talent pour, uniquement pour que dans 50 ans et qu’il y aura longtemps que je serai mort ils se disent en se remémorant : « et celui là pourquoi s’est il occupé de moi ? » > louis