bjr, je vous ai vu cette semaine à ottmarsheim. on ne se quitte plus !
j’ai perdu mon père qui avait 97 ans, j’en ai 60 ; mes 5 frères et soeurs plutôt plus. mon père n’a rien organisé et nous laisse dans un embarras terrible.mon sentiment va de la colère « il n’avait pas à nous laisser un pareil bazar fiscal » et un amusement « au moins on n’a pas le temps de l’oublier » ; mais du chagrin aucun : il est dans les bras de Dieu et tout est pour le mieux. çà me fait penser à ce que dit chateaubriand dans ses memoires d’outre tombe « quand une âme arrive au ciel, Dieu la prend sur ses genoux et l’appelle mon enfant » Louis MOTTE
bjr, je vous ai vu cette semaine à ottmarsheim. on ne se quitte plus ! j’ai perdu mon père qui avait 97 ans, j’en ai 60 ; mes 5 frères et soeurs plutôt plus. mon père n’a rien organisé et nous laisse dans un embarras terrible.mon sentiment va de la colère « il n’avait pas à nous laisser un pareil bazar fiscal » et un amusement « au moins on n’a pas le temps de l’oublier » ; mais du chagrin aucun : il est dans les bras de Dieu et tout est pour le mieux. çà me fait penser à ce que dit chateaubriand dans ses memoires d’outre tombe « quand une âme arrive au ciel, Dieu la prend sur ses genoux et l’appelle mon enfant » Louis MOTTE