(4) Heureux les affamés et assoiffés de la justice, car ils seront rassasiés.
Pour tous ceux qui luttent pour un monde meilleur…
Pour tous ceux qui luttent pour un monde meilleur…
Qu’est-ce qui différencie la prière chrétienne de la prière non-chrétienne, de la méditation des spiritualités orientales ?
Quelle place pour l’Espérance dans le Nouveau Testament ?
Qu’est-ce qui peut lui faire obstacle ?
Dans les quatrième et cinquième chapitre de son exhortation apostolique « Amoris Laetitia », le pape François nous invite à réfléchir à l’amour dans le mariage et à la fécondité.
Le saint père nous invite à considérer nos contemporains dans leurs conditions de vie et d’aller à leurs devants pour transmettre la joie de l’Évangile : que de défis à relever !
Dans cet article, vous pourrez ré-écouter deux enseignements que Père Pierre-Marie a donnés dans le cadre d’une halte spirituelle pour femmes (décembre 2014).
Dans son enseignement, François de Sales insiste d’abord sur la dévotion. Bien sûr, il parle du combat ascétique mais sur fond de confiance en Dieu.
Durant la vie terrestre de Jésus et aussi après Pâques, nul ne songea à mettre en doute la réalité de l’humanité du Christ, c’est-à-dire le fait qu’il était vraiment un homme comme les autres. Ce que l’on contestait, ce n’était pas son humanité, mais bien sa divinité.
Le CEC a élargi la tempérance aux bien matériels. Nous parlerons moins de cette tempérance par rapport à l’usage des biens. Elle consiste trouver le juste milieu entre dépense superflue et dépense raisonnable, à ne pas agir par “caprice”, comme la conséquence d’une réaction non réfléchie.
Pour nous qui rêvons d’un monde de bienveillance, de droit à l’erreur, de pouvoir dire notre faiblesse sans être jugés, cette béatitude nous encourage à persévérer dans la miséricorde…