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Si La vision judéo-chrétienne de l’écologie est anthropocentriste, elle ne lui donne pas un rôle de toute puissance. Or, le courant de pensée dominant actuellement part de ce postulat pour le considérer comme une menace. Comment faire pour laisser l’Évangile éclairer notre rapport à la nature ?
Saint François de Sales a beaucoup à nous dire sur l’accompagnement spirituel. Il y a lui-même goûté et a écrit à ce sujet, de l’Introduction à la vie dévote aux entretiens spirituels en passant par les lettres et le Traité de l’amour de Dieu.
Dans notre société, la position sociale ne procure pas nécessairement un sentiment de satisfaction. La question de s’aimer soi-même a alors toute sa pertinence. Entre trop et pas assez, la limite n’est pas facile à trouver…
François de Sales a été qualifié de « docteur de l’Amour » par le Pape Pie IX. Cela se réfère notamment à son traité de l’amour de Dieu. Dans ses réflexions sur l’amitié, il y a l’homme d’expérience, qui a vécu intensément des relations d’amitié.
Judas, Barabas, Simon de Cyrène, Joseph d’Arimatie, Nicodème et Marie-Madeleine… Père Pierre-Marie nous invite à rencontrer ces personnes qui nous guider dans notre cheminement spirituel.
Dans son enseignement, François de Sales insiste d’abord sur la dévotion. Bien sûr, il parle du combat ascétique mais sur fond de confiance en Dieu.
Pourquoi François de Sales donne-t-il une telle importance à la prière ? Pour lui, il faut « commencer par l’intérieur ». La vraie réforme commence par l’accueil de la vie et de l’amour de Dieu, et la conversion du cœur afin de laisser le Christ irriguer toute notre vie.
Tout d’abord, nous pouvons nous rappeler que, si le Christ les cite dans ce passage d’évangile, les guerres, les famines et les conflits ont toujours existé, ce n’est pas que d’aujourd’hui. Il est cependant nécessaire que dans ce monde, nous ayons une attitude intérieure qui soit juste.
Si le but ultime de la vie spirituelle n’est pas de n’avoir aucun défaut ni aucune tentation, c’est essentiellement de grandir dans la charité, d’être uni à Dieu et à sa volonté.
Selon les mots mêmes de Benoît XVI, sans François de Sales « n’auraient pas existé Saint Jean Bosco ni l’héroïque « petite voie » de sainte Thérèse de Lisieux » ?