(3) Les vertus, La justice.
La justice est la vertu qui, naturellement, instinctivement, nous tient le plus à cœur.
Le sentiment d’injustice peut engendrer beaucoup de colères. Nous sommes enclins à dénoncer les injustices qui nous touchent.
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La justice est la vertu qui, naturellement, instinctivement, nous tient le plus à cœur.
Le sentiment d’injustice peut engendrer beaucoup de colères. Nous sommes enclins à dénoncer les injustices qui nous touchent.
L’hiver et la grisaille qui arrivent ne sont pas sans effet sur notre capacité à supporter les aléas de la vie. Et pourtant, la joie chrétienne, si nous la possédons, est une grâce qui nous aide à garder la lumière et l’allégresse intérieure.
La prudence est la plus intellectuelle des vertus. C’est elle qui nous pousse à agir en fonction de ce que nous dicte notre raison et notre intelligence.
« Il rentra en lui-même. » Quand on entre dans la vie professionnelle, il arrive parfois que l’’on se mette dans une quête spirituelle, passant d’une vie extériorisée à une vie plus intérieure.
Dans ce monde ou la vitesse et la réactivité sont des valeurs fortes, on confond souvent la prudence avec la pusillanimité ou la méfiance. La prudence, ce serait préférer ne rien faire plutôt que de prendre des risques, sorte d’immobilisme.
Pourquoi parle t-on des vertus dans la Foi chrétienne ? Ce qui est premier, c’est l’étude du contenu de la foi, la pratique des sacrements et la prière, relation vivante avec le Ciel.
À ceux qui accuseraient les chrétiens d’avoir inventé quelque chose de rabat-joie avec la vertu, on peut rappeler que le concept de vertu n’est pas une invention chrétienne !
« Dis-moi qui sont tes amis, je te dirai qui tu es. » Reconnaissons-le simplement, les amitiés d’hier et d’aujourd’hui nous façonnent. Mais y a-t-il des conditions pour qu’une amitié me construise ?
Comment le Seigneur nous conduit-Il ? Faut-il chercher des signes extérieurs ou faire confiance à ce que l’on ressent ? comment le Seigneur nous guide-t-il à travers ce qui nous habite ?
Ne soyons pas des analphabètes de nous-mêmes ! et soyons convaincus que le Seigneur passe par nos erreurs.
Parmi les béatitudes, nous avons sans doute tendance à passer sous silence cette béatitude qui a la couleur du sang. Cette béatitude vient après celle des artisans de paix.